Dépôt de la réponse. La plupart des États ont un formulaire sur lequel un répondant (le conjoint qui a reçu signification de la requête) peut répondre. Dépôt ce document est habituellement nécessaire seulement si il choisit de contester le divorce. Ce document est sensible au temps, cependant, et la pétition et d'une sommation d'origine devrait inclure la date à laquelle il doit être déposé pour éviter un défaut de paiement.
Demander et assister à une audience. Sur le formulaire de réponse, le répondant peut montrer si elle conteste les motifs du divorce (l'adultère, l'abandon, l'abus, par exemple) ou les termes du divorce (garde des enfants, pension alimentaire). Si les motifs sont contestés, cette question devra venir devant le tribunal, si une audience n'a pas déjà été prévu, l'intimé doit déposer une motion pour montrer cause et le régler pour l'audition par le greffier du tribunal.
Réfuter les motifs. Les motifs de divorce sont assez uniformes d'un État à État. Un époux peut demander le divorce pour un certain nombre de raisons décrites dans les lois de l'Etat. Le fardeau de la preuve incombe au conjoint demande le divorce. Ainsi, par exemple, si un divorce est déposée sur les motifs d'abandon, et la loi de l'Etat définit l'abandon comme 18 mois consécutifs sans cohabitation, le conjoint de dépôt doit produire la preuve d'une absence de cohabitation pour cette longueur de temps. Contestant les motifs est une question de fournir la preuve que réfute ou réfute, preuves des motifs.
Contester les termes. La plupart des États, cependant, ont sans faute lois sur le divorce qui ne nécessitent pas des motifs particuliers. Il n'y a donc aucune raison de contester, ou de désaccord sur. Dans ces situations, ou si le répondant choisit de ne pas contester les motifs, un divorce peut être contestée sur ses termes. Si la pétition dit que le requérant devrait recevoir la garde exclusive des enfants, l'intimé pourrait accepter le divorce, mais se battre pour la garde au moins partielle. Lorsque les conditions sont contestées, la situation va d'abord aux parties à la négociation privée (par le biais de leurs avocats).
Cherchez ADR. Règlement extrajudiciaire des différends, ou ADR, est un moyen de régler les problèmes sans avoir à aller devant le tribunal, qui applique les normes généralement assez rigides. ADR autorise un médiateur ou un arbitre de consulter avec les deux parties, séparément ou ensemble, et de créer un compromis viable. Si les parties acceptent les conditions, ils peuvent signer un accord de règlement de divorce et de passer à la finale de divorce.
Obtenir une décision judiciaire. Si les parties ne peuvent pas accepter les termes du divorce, si les conditions restent contestés, puis finalement ce sera au juge de décider. Le juge a une certaine marge de manœuvre pour tenir compte de divers facteurs en fonction de ce que les termes sont en litige, mais aussi appuyer fortement sur des directives strictes et des précédents.